A en croire le syndicat Cgt l’inspection du travail aurait décidé de rejeter le licenciement pour motif économique des 21 représentants du personnel. Celui-ci serait non fondé selon elle. « Aucune preuve de difficultés particulières pour préserver la compétitivité du groupe n’a été apportée » affirme le syndicat dans un communiqué. Près de la moitié des ouvriers licenciés s’engagent maintenant dans une procédure devant le Conseil des Prud’hommes d’Albertville. Ils demandent « la reconnaissance de l’absence de motif économique ». La Cgt qui espère aujourd’hui pouvoir relancer l’usine de Château Feuillet.
Un espoir pour les ouvriers licenciés de chez Ferropem en Savoie
L'usine a fermé ses portes il y a un peu plus d’un an.