Elle fait suite à l’abattage d’un cheptel de 240 vaches dans une exploitation laitière de la commune le 5 janvier dernier, dans le cadre de la lutte contre la brucellose. Seul un bovin était pourtant touché par cette maladie, ce qui a déclenché la colère du monde agricole et des citoyens. Aujourd’hui, l’association, qui compte une quinzaine de membres, souhaite aller encore plus loin en se mobilisant pour tous les élevages de plein air. L’objectif est d’ouvrir le dialogue sur les réglementations jugées « absurdes et inhumaines », qui consistent en l’abattage total des troupeaux en cas d’infection sur un seul animal, afin qu’elles puissent s’adapter aux réalités du terrain et au travail des agriculteurs. Les précisions de Coralie Amard, co-présidente de l’association.