Marie Humbert veut continuer à se battre au nom de Vincent

Vincent, son fils tétraplégique qu’elle a aidé à mourir comme il le lui demandait il y a 2 ans. Pour elle, le non-lieu requis lundi par la justice, c’est comme si on lui avait volé le procès de son fils. Procès qui aurait été l’occasion d’un débat sur l’euthanasie selon elle.