Les faits s’étaient produits en mai 2017. Une élève de Troisième, âgée à l’époque de 14 ans, avait été aspergée d’un liquide inflammable par une camarade de 15 ans, qui lui avait ensuite mis le feu dans la cour de l’établissement durant la récréation. L’agresseuse présumée avait été mise en examen du chef de tentative d’assassinat et placée en détention provisoire dans un établissement pénitentiaire pour mineurs. Le pronostic vital de la victime avait été engagé au moment de la violente agression.