L’affaire porte sur le renouvellement de la concession pour les remontées mécaniques de la station en 2013. Il lui est reproché d’avoir participé au vote de délibération alors qu’il dispose de quelques actions de la compagnie. Il se défend en expliquant que ces titres lui ont été cédés par ses grands-parents et sont vieux de 65 ans. 18 actions sur plus de 900 000. Le maire de Chamonix et deux autres élus auront l’occasion de s’expliquer face aux magistrats ce jeudi.