Il a ajouté qu’il n’y avait pas « d’épidémie de malformations de bras en France, mais qu’il fallait répondre aux questions des familles. » C’est le Remera, à l’origine des révélations, qui va se charger de l’enquête.
Les autorités sanitaires se défendent dans l'Ain
Après l’affaire des bébés nés sans bras dans l’Ain, le directeur général de la santé a annoncé aujourd’hui que la polémique ne devait pas « continuer ».