Une partie du trafic se reporte sur le réseau secondaire, notamment au sud du canton de Genève qui explique que certains villages font face à des nuisances et des problèmes de sécurité. Les autorités françaises et suisses ont signé ce mardi une lettre d’intention pour mettre en œuvre un programme d’action visant à diminuer le flux et améliorer la qualité de vie des communes concernées. Il est notamment question de promouvoir le covoiturage, avec une voie dédiée à ce mode de transport, de mettre en place de nouvelles lignes de transports publics transfrontalière ou encore de créer plus de parcs relais et d’aires de covoiturage.
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Il faut désengorger les petites douanes !
Avec 600.000 mouvements routiers enregistrés chaque jour entre Genève, le canton de Vaud et la France, les axes principaux se retrouvent assez vite saturés.