Peut-être une affaire de patron voyou à Albertville

Neuf carreleurs portugais devrait attaquer leur employeur aux Prudh’hommes pour salaires non versés, relate le Dauphiné.

Arrivés en France en avril 2012, ils ont été déclarés jusqu’en novembre. Après, plus de papiers et plus de salaires… L’affaire se complique car le patron, lusitanien lui aussi, serait retourné au Portugal. Les ouvriers, à bout de ressources, survivent à Albertville grâce à la solidarité locale.