Troisième journée du procés de l’incendie des lieux de cultes musulmans d’Annecy et Seynod.

Mercredi Nicolas Paz a tenté d’expliquer pourquoi il avait mis le feu à la salle de prière de Seynod. Des raisons personnelles avec le viol de sa mère à l’age de 12 ans en Algérie, une agression dont il a été victime à l’époque où il était vigile de discothèque ainsi que la guerre en Irak et les violences des fondamentalistes contre les occidentaux. Des arguments qui pour les parties civiles ne tiennent pas la route. Pour Me Jacubovic Nicolas Paz n’était pas sincère. La défense de son coté dénonce une instruction à charge pour raison politique.Suite du procés jeudi avec les plaidoiries des parties civiles et le réquisitoire de l’avocat général.